△Et si tu étais la solution à mes problèmes. 
Ian & Marion

Etre un vampire avait certes certain avantage, mais il y a une chose que je ne supportais pas, l’ennui. Enfin plus précisément la journée que nous autre créature de la nuit devons subir enfermés cher nous à l’ abri des rayons du soleil sous peine de finir griller comme des toasts. J’avais donc passé ma journée à tourner en rond cherchant de quoi m’occuper. La plus part des livre de la bibliothèque avait était dévorer encore et encore et le programme téléviser était de plus en plus pitoyable. Mon seul allé face à ces journées interminable était la musique. Je pouvais passer des heures à écouter encore et encore toute sorte de mélodie. Malheureusement lorsque l’ennui et la solitude vous gagne, vous pouvez être sûr que la méditation n’est jamais bien loin. Vous repassez votre vie en long et en large cherchant ce que vous avez loupé et comment vous auriez pu éviter cela, ou encore vous chercher des réponses aux questions que vous, vous posez depuis longtemps sans jamais trouver de réponse convenable. En gros je m’étais torturer l’esprit toute la journée, mais cela n’était peut-être pas en vain. Une idée me vin en tête et je n’attendais que la nuit de pouvoir agir. 

Après avoir pris une douche et mètre vêtis je partis cher Ian lorsque la lune fit son apparition. Arrivée devant le manoir des Dashkov, je fus impressionné par l’ampleur du bâtiment. Ce n’était pas du tout ce à quoi je m’imaginais en me rendant cher lui. Je ne pensais pas tomber devant une demeure aussi grande et en même temps agréable à l’œil. Ian est moi nous connaissons depuis quelque temps maintenant mais je n’avais encore jamais mis un pied cher lui d’où mon étonnement. Après tout on passait le plus claire de notre temps à se chamailler plutôt qu’à prendre le thé au coin du feu. Je m’avança jusqu’au pavillon et pris mon courage à deux mains pour frapper à la porte. Si j’étais venue ici c’est parce que j’avais besoin de son avis et peut être même de son aide.

△Et si tu étais la solution à mes problèmes. 
Ian & Marion

J’avais attendu un petit moment avant que la porte ne s’ouvre. Lorsque Ian fit son apparition devant moi, il m’accueil avec tout le savoir vivre au monde. J’eu envie de répondre, mais vue l’odeur d’alcool qu’il dégagé il était claire qu’il n’avait pas les idées claires et que si je le poussais un peu trop loin j’allais avoir des problèmes. S’amuser avec lui était bien sympathique, mais il ne fallait pas oublier qu’il n’était pas n’importe qui et que si l’envi de m’arracher la tête ou d’utiliser ses dons de vampire sur moi lui prenait alors je n’avais aucune chance de m’en sortir. Après tout il avait plus de mille ans et je n’en avais que cent soixante-deux.  Comment voulais-vous que je m’en sorte en un seul morceau. D’autant plus que quand il a un peu trop bus il est encore plus susceptible et imprévisible que d’ordinaire.

«Accroche toi bien parce que ça n’arrivera pas souvent mais… j’ai besoin de ton aide… Enfin vue ton état je ne suis pas sûr que tu vas m’être très utile mais bon. »

J’avais besoin de ses conseils bien que cela n’arrive jamais d’ordinaire, mais après cette journée à avoir tourné en rond il était la seul personne avec qui j’avais envie de parler et qui pouvais m’aider. Contrairement a ce que je faisais paraitre je n’avais pas oubliée notre dernière rencontre dans la forêt et notre baiser, mais il me semblait plus judicieux de faire comme si de rien n’était. Je ne voulais pas lui montrer que je n’avais rien oublié et que j’avais même apprécié cela. J’avais eu du mal à me dire que j’allais le revoir mais j’avais besoin de lui. Toute la journée j’avais cherché ce que j’avais merdé dans ma vie et cela fus rapide car je me rappeler de rien. Enfin quand je dis se rien je veux dire de ma vie d’humaine. C’était le vide absolu depuis que mon foutu créateur avait décidé de faire le grand ménage dans ma caboche. Une idée m’était venue en tête et si Ian pouvait m’aider à me souvenir de mon passé. Ce n’est pas tellement qui me manquer car depuis le temps j’avais fini par m’habituer à ce vide, mais j’avais toujours se sentiment de ne pas être totalement moi-même.

« Enfin je dérange peut-être ? Tu as surement mieux à faire ce soir vue ce que je peux constater.  »